Grâce à une entrevue avec Noémie Chateau, nous avons pu visiter les salles de spectacle de l’Atrium de Tassin. C’est David Devardat qui nous a accueillis, il nous a laissé répéter un petit texte théâtral dans la salle Chopin de 130 places. Il a expliqué aux jeunes quelques superstitions du Grand Siècle : on ne dit pas “cordes” mais “guindes” ; pas de couleur verte sur scène, rapport au costume de Molière dans son tout dernier dernier spectacle du Malade Imaginaire… Il a expliqué jardin/cour, le lointain / le nez de scène.
On a ensuite fait la rencontre de Léa, responsable de la billetterie qui a montré son logiciel d’enregistrement des places, comme au cinéma !! Nous croisons ensuite Anna cheffe régisseur son / lumière! Il y aura en avril 2023 les Pokémon Crew sur la grande scène de l’Atrium, et un stage de hip hop avec eux dont l’inscription coûtera 30 euros, ouverte pour les 12-18ans sur 3 après-midi! On s’est rendu dans la grande salle ensuite, mais par les coulisses ! Cuisine, local technique rempli de “flycages” ; le “catering” dans les loges, c’est le petit repas sur le pouce !
Sur le grand plateau de 8x10m. David évoque le “grill” où sont les “perches” sur lesquelles sont fixés les projecteurs – rien à voir avec une sortie de pêche ! Maxime nous accueille derrière sa “console”. La “table de mixage” se dit pour le son. Sur l’écran, on voit un joli “cyclorama” ; au sol est dessiné un “gobo”, ça sonne comme du swahili ! Les élèves s’essaient aux éclairages de la scène! La poursuite ne doit pas se situer au- dessus du visage, rapport aux ombres portées. Les projecteurs sont motorisés et colorisés par de la Gélatine/ou des led. La fumée est faite pour voir les faisceaux lumineux ! Quelle chance nous avons.
Nous finirons la sortie par la visite VIP de la médiathèque avec Jeanne que nous remercions pour sa disponibilité, elle nous a permis de repartir en possession de 2 cartes de lecteurs… De manga pour le moment ! Merci à toute l’équipe, et surtout à David, Léa, Anna, Maxime, Jeanne et Noémie sans qui cette formidable visite n’aurait pas été possible.
Article de Mme Huber, professeure de Français